© éditions Sarbacane, 2019
Haikus de Sibérie
“Y’a pas plus loin que la Sibérie, à moins de partir sur la Lune…” Voilà ce que se dit Algis, petit Lituanien blondinet toujours souriant, déporté avec sa famille par l’armée russe en 1941. Il en reviendra seul et racontera plus tard ses souvenirs à sa fille, l’autrice Jurga Vilé, qui en fait, avec Lina Itagaki au dessin, un livre bouleversant, présenté tel un journal intime.
Lina Itadaki
Lina Itagaki est une artiste lituanienne, dessinatrice pour la presse, la jeunesse et la bande-dessinée. Diplômée de l'université de Tokyo, où elle a vécu six ans, et de l'Académie des Arts de Vilnius, elle a reçu de nombreux prix, dont celui du Plus beau livre de l'année 2017 en Lituanie pour "Haïkus de Sibérie", son premier livre (avec Jurga Vilé, chez Sarbacane, 2018). Son deuxième livre a paru en lituanien à l'automne 2019 : "Vilniaus rumai ir ju šeimininkai" ("Le Palais des souverains du Grand-Duché").
Jurga Vilé
Jurga Vilé est née à Vilnius. En 1990, elle a treize ans quand la Lituanie proclame son indépendance. C’est avec sa chorale qu’elle découvre, et tombe amoureuse de la France ; diplômée de la philologie française à l’Université de Vilnius, elle part étudier le cinéma et l’audiovisuel à la Sorbonne Nouvelle (Paris III).
En 2000 elle part à New York où elle fait de nombreux petits boulots, puis vit pendant 10 ans en Andalousie, où elle travaille comme traductrice. C’est en Espagne qu’elle écrit Haïkus de Sibérie.
Depuis l’été 2018, elle est revenue habiter à Vilnius avec ses deux enfants.
Elle y travaille à mi-temps comme caissière au Musée de l’art moderne, le reste du temps, elle traduit des films pour le cinéma et écrit.
Haïkus de Sibérie est son premier livre publié.
En 2000 elle part à New York où elle fait de nombreux petits boulots, puis vit pendant 10 ans en Andalousie, où elle travaille comme traductrice. C’est en Espagne qu’elle écrit Haïkus de Sibérie.
Depuis l’été 2018, elle est revenue habiter à Vilnius avec ses deux enfants.
Elle y travaille à mi-temps comme caissière au Musée de l’art moderne, le reste du temps, elle traduit des films pour le cinéma et écrit.
Haïkus de Sibérie est son premier livre publié.
